Un prix qui dépasse le terrain de jeu
Lors de la cérémonie, Donald Trump a affirmé que son action avait « sauvé des millions de vies » en Afrique, en Asie du Sud et au Moyen-Orient. La FIFA, de son côté, a présenté ce prix comme un hommage à des « efforts contributifs à la stabilité mondiale ». Pourtant, l’annonce a immédiatement secoué l’opinion internationale : certains saluent une reconnaissance d’initiatives diplomatiques souvent méconnues, d’autres y voient une manœuvre politique qui brouille les lignes entre sport et pouvoir. Le symbole est puissant : le football, langue universelle, devient ici un vecteur diplomatique… mais au risque de basculer dans l’arène des controverses.
En attribuant ce prix à Trump, la FIFA voulait célébrer la paix ; elle a surtout ravivé le débat sur la frontière fragile entre influence sportive et calcul politique. Reste à savoir si cette distinction marquera une avancée pour la paix, ou simplement un épisode de plus dans la stratégie d’image du football mondial.
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