Selon des sources locales, l’ex-édile arrivait du Canada lorsque les autorités migratoires dominicaines l’ont arrêtée, découvrant dans ses bagages environ un million de dollars américains. Après une nuit en détention, elle aurait été relâchée à la suite d’un accord dont les termes n’ont pas été divulgués, alimentant rumeurs et spéculations.
Rosemila Petit-Frère, qui avait quitté Haïti pour raisons médicales durant le mandat d’Ariel Henry, traîne une réputation controversée, marquée par plusieurs démêlés judiciaires. Sa libération expresse soulève déjà des questions sur l’issue de cette affaire, tant en République dominicaine que sur le sol haïtien.
Reste à savoir si cette interpellation éclair marquera un tournant judiciaire pour l’ex-mairesse, ou si elle s’ajoutera à la liste des épisodes opaques qui jalonnent sa carrière politique.
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