En l’espace de quelques heures, une vague de messages alarmistes a envahi les réseaux sociaux : Donald Trump serait mort. Aucun média crédible ne l’avait confirmé, mais la nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre, alimentant confusion et émotion dans le monde entier.
Face à cette tempête numérique, l’ancien président américain est apparu publiquement, visiblement en forme, pour balayer les spéculations et transformer l’incident en une charge supplémentaire contre la presse et les plateformes en ligne. « Quand les médias abandonnent la rigueur, les fausses nouvelles deviennent des scandales planétaires », a-t-il déclaré, pointant du doigt la légèreté avec laquelle certaines rumeurs sont relayées.
La Maison Blanche, pour éteindre définitivement l’incendie, a publié un diagnostic médical complet attestant que Donald Trump se portait bien. Mais au-delà de la mise au point, l’affaire illustre la puissance dévastatrice des réseaux sociaux dans un climat médiatique fracturé, où la frontière entre information et intox s’efface sous la vitesse des partages.
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